Elle percevra désormais des royalties : 2 % des ventes mondiales des parfums et la poursuite du règlement de son luxueux train de vie. Six ans plus tard, il lui rachète ses parts dans la maison de couture et la pousse à reprendre son activité de modiste. Il ne le regrettera pas : si les deux premières collections de Mademoiselle sont des échecs, le lancement de ses tailleurs gansés et du total look Chanel est un énorme succès. Pierre Wertheimer, qui possède désormais 100 % de la société, voit sa fortune exploser.
Je trouve que ce passage montre, qu’après coup, on peut toujours surfer la vague. La cupidité au dessus des valeurs pour les Wertheimer.
C’est comme ouvrir des petites trappes sur des mondes différents et de les explorer pendant quelques mois/années en étant faciné par la richesse de chaque domaine. Il y a quelques d’assez exitant à découvrir des univers différents.